- Avoir assez de temps pour réaliser les projets personnels qui nous tiennent à cœur.
Lorsqu’on fait face au manque de temps et d’argent, on est porté à croire que, en ayant plus
d’argent, tous les problèmes vont pouvoir se résoudre. Au fur et à mesure qu’on progresse
dans l’amélioration de notre situation financière et qu’on accumule certaines réserves, on
prend conscience que, dans les faits, on arrive plutôt à consacrer plus de temps pour faire les
choses qui sont vraiment importantes pour nous. - Avoir suffisamment de temps pour faire plus de choses avec notre famille.
Tout en ayant plus de temps pour nous-mêmes, nous aspirons à passer plus de temps avec
ceux que nous aimons afin de leur témoigner notre engagement et notre soutien. - N’avoir jamais à se dire ou à dire à ceux qu’on aime « peut-être l’an prochain ».
La plupart d’entre nous prévoyons faire quelque chose de spécial pour ceux que nous aimons.
Travailler à accumuler des réserves et à créer l’abondance dans notre vie est une façon qui
peut nous permettre de réaliser des choses spéciales. Il convient de garder à l’esprit que cela
ne signifie pas nécessairement qu’on doive travailler de longues heures, mais plutôt qu’on a
besoin de planifier pour atteindre une certaine indépendance financière. - Savoir que si aujourd’hui était le dernier jour de notre vie, on pourrait partir sans
regrets.
On devrait être conscient que les relations sont prioritaires sur les résultats et sur le matériel.
« Être correct avec les autres » est un défi constant pour chacun d’entre nous. On peut se
demander si un point en litige aura la même signification demain, la semaine prochaine, l’an
prochain, et voir alors comment on peut préserver notre relation avec l’autre. - Se sentir concentré et en harmonie lorsqu’on travaille plutôt que d’être tiraillé et
stressé.
Avoir des objectifs qui rejoignent nos valeurs et travailler à y parvenir aide à établir
l’harmonie et la paix en soi. Faire ce qu’on aime plutôt que ce qu’on doit aide à se concentrer
tout en éliminant les risques de « burn out ». - Savoir dans le fond de soi-même que le mieux qu’on puisse faire correspond bien à tout
ce qu’on fait dans la réalité, et que le mieux que l’on fasse est toujours suffisant.
Notre société valorise les réalisations tangibles et les gens qui se font par eux-mêmes tout en
oubliant les efforts et les sacrifices faits par d’autres. Il convient de se rappeler que nous
sommes les seuls à établir les règles de mesure de notre succès et de considérer que notre
rythme de progrès est forcément différent de celui des autres. - Accepter ses limites, faire la paix avec son passé et s’épanouir dans ses passions de
manière à ce que l’avenir corresponde à l’idée que l’on se fait du bonheur.
On parvient à l’idée que l’on se fait du succès lorsqu’on reconnaît ses limites et qu’on les
utilise pour atteindre de plus hauts sommets. En écoutant son intuition, on évite de se
diminuer. On peut alors atteindre de nouveaux plateaux en observant ceux qui excellent là où
on éprouve des difficultés. Apprendre, croire et réaliser. - Faire une différence dans la vie des autres et croire que si on fait cela pour une seule
personne chaque jour, avec un sourire en plus, un rire partagé, une caresse, un mot
gentil, une main tendue, on est un être humain remarquable.
Ça prend bien peu de choses pour vraiment toucher quelqu’un d’autre. S’arrêter pour
demander « Comment ça va? » ou offrir un mot d’encouragement peut faire une différence
dans un univers où la solitude et l’individualisme prennent beaucoup de place aujourd’hui. - Ne pas accumuler, mais laisser plutôt aller les choses, parce que tout ce qu’on a est tout
ce dont on a besoin.
Être heureux avec ce qu’on a et ce que l’on est, voilà le secret d’une vie pleine et réussie.
ÊTRE plutôt que FAIRE. - La poursuite incessante d’un rêve
Les périodes de trébuchements et de défis sont des faits de la vie. Avancer vers ses buts et ses
rêves en dépit des empêchements donne de la signification et une raison d’être à notre vie.
C’est à travers ce mouvement constant vers notre raison d’être que nous sommes capables de
donner aux autres le cadeau que nous sommes.
Auteur inconnu. Adapté par Jean-Pierre Fortin.